La paternité divine, 1700 ans après Nicée

Rosanna Virgili, « Le Père », éditions San Paolo

En cette année jubilaire qui marque également le 1700e anniversaire du concile de Nicée, Rosanna Virgili publie Le Père. Nous savons par notre ami Mgr Massimiliano Palinuro, Evêque d’Istanbul, que de grandes célébrations sont en cours à Nicée (aujourd’hui Iznik, à 130 km de la capitale), notamment en vue de la venue attendue du Pape Léon XIV. Nous connaissons la bibliste Rosanna Virgili et avons lu un grand nombre de ses travaux ; il n’est donc pas surprenant que ce texte cherche à re-comprendre Dieu, en qui les catholiques croient, à travers le mot « père », afin d’accéder à de nouvelles visions de la paternité divine à partir d’une relecture des textes bibliques à la lumière des connaissances et des expériences actuelles.

« Je crois en un seul Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, de l’univers visible et invisible ». C’est par ces mots que commence la prière du Credo, par laquelle nous, qui sommes chrétiens, affirmons notre foi aujourd’hui comme il y a 1 700 ans.

Une foi qui contemple l’ineffable mystère trinitaire dans lequel notre vie et celle de l’univers est inscrite, en goûtant son infinie beauté.

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