A l’agenda

26 juillet – Sainte Anne et saint Joachim

Parents de la Vierge Marie, grands-parents de Jésus, sainte Anne et saint Joachim sont célébrés le 26 juillet. Sainte Anne est considérée comme la sainte protectrice des femmes en couches, des mères de famille et aussi des veuves. L’Église orthodoxe la fête également.

Au Vatican, cette date est une commémoration importante, car elle marque la fête de la Paroisse pontificale de Sainte-Anne, fondée par Pie XI le 30 mai 1929 par la Constitution apostolique Ex Lateranensi pacto et confiée aux soins des Augustins.

4 juillet – Sainte Isabelle du Portugal

Isabelle d’Aragon, aussi appelée sainte Élisabeth, née en 1271 à Saragosse, fille de Pierre III d’Aragon et de la princesse Constance de Sicile, devint reine du Portugal à seulement douze ans en épousant Denis. Femme d’une profonde foi, elle mena une vie marquée par de grandes souffrances familiales et des tensions politiques. Lorsque son fils Alphonse IV menaça de faire la guerre à son père, Isabelle se plaça entre les deux armées à Alvalade et son intervention fut considérée comme miraculeuse : une lumière aurait séparé les troupes, empêchant le combat. Bien qu’éloignée de la cour par son mari, Isabelle le soutint jusqu’à sa mort, contribuant à sa conversion. Après être devenue veuve, elle devint tertiaire franciscaine, distribua ses biens aux pauvres, fit un pèlerinage à Compostelle et se retira dans le monastère qu’elle avait fondé à Coimbra. Elle mourut en 1336. Canonisée en 1625 par le Pape Urbain VIII, elle est vénérée comme sainte le 4 juillet.

La Madone de la Neige

Mardi 5 août est l’anniversaire de la dédicace de la Basilique papale de Sainte-Marie Majeure à Rome et on célèbre la fête de la Madone de la Neige. L’événement extraordinaire d’une chute de neige se produisit en 358 lorsque la Bienheureuse Vierge Marie, apparue en songe au Pape Libère et au patricien romain Jean, leur demanda de construire une église à l’endroit où un miracle allait se produire. Le 5 août 358, une chute de neige blanchit la colline de l’Esquilin.

Par Valeria Pendenza