En Ukraine comme en Syrie, en Terre Sainte comme au Liban et dans tout le Moyen-Orient, au Sahel comme au Yémen, en Birmanie comme en Iran et en Haïti, le monde «connaît une grave pénurie de paix». C'est pourquoi le Pape François, dans le traditionnel message Urbi et Orbi de Noël, du 25 décembre, depuis la Loggia centrale de Saint-Pierre, est revenu sur ce thème pour donner une voix à l'espérance de tous les peuples déchirés par les conflits, appelant à des «gestes concrets» de réconciliation et de solidarité, en particulier pour nos «frères» et «sœurs» d'Ukraine, qui vivent ce Noël dans l'obscurité, dans le froid ou loin de chez eux, à cause des destructions causées par dix mois de guerre. Le Pape a renouvelé sa pensée douloureuse pour «la chère et tourmentée Ukraine» lors de l'Angelus du 26, en particulier pour les enfants innocents «dévorés» par la violence, l'injustice et la pauvreté, ainsi qu’au cours de l’audience générale du 28 décembre.
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