
26 octobre 2021
«Je m’appelle... et pendant des années, j’ai été victime d’abus par un prêtre que je devais appeler “petit frère” et dont j’étais la “petite sœur”».
Le nom n’apparaît pas, ni l’origine. Ce qui apparaît, en revanche, et qui est douloureusement clair, c’est la blessure profonde que les abus subis par un prêtre ont creusée dans l’âme de cette femme qui, même des années plus tard, a du mal à s’orienter vers un chemin de guérison, à tel point qu’elle a toujours peur de voir un prêtre et ne peut même pas aller à la Messe.
Un avertissement pour les prêtres
Cette lettre partagée par la Commission pontificale pour la protection des mineurs est déchirante mais, en même temps, ...
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