
«Abandonnez le chemin de la violence, qui est toujours perdant» et «qui est une défaite pour tous». «Souvenons-nous que la violence engendre la violence». L’appel plein de douleur lancé par le Pape François à la fin de l’Angelus dominical du 17 octobre a été lancé suite aux attentats perpétrés en Norvège, en Afghanistan et en Angleterre la semaine dernière. Rappelant les «nombreux morts et blessés» provoqués par les attentats, François a voulu exprimer sa proximité aux familles des victimes. La pensée toujours tournée vers le thème de la réconciliation et de l’amitié entre les hommes, il a évoqué la campagne de prière promue par la Fondation «Aide à l’Eglise en détresse», qui avait donné «rendez-vous aux paroisses, aux écoles et aux familles avec l’initiative “Pour l’unité et la paix, un million d’enfants récitent le chapelet”». Auparavant, comme à l’accoutumée, le Souverain Pontife avait commenté l’Evangile du dimanche, approfondissant l’épisode des disciples, Jacques et Jean, qui demandent au Seigneur d’être un jour assis à ses côtés dans la gloire.
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