
10 août 2021
Quatre coups d’arme à feu tirés à bout portant n’ont pas suffi à faire disparaître une idée à laquelle il croit depuis toujours: l’indépendance du pays ne représente pas un saut politique et social dans l’inconnu. Mais c’est une grande occasion de rachat, il faut seulement avoir de la patience. Lors de cette nuit maudite du 26 avril dernier, quand un commando de tueurs a tenté de l’assassiner avec une rafale de kalashnikov, le père Christian Carlassare n’a pas renié sa confiance dans les hommes et dans les femmes qui, au Soudan du sud, sont en train de porter le poids de la liberté. Et même après trois mois, presque à la fin de sa convalescence, il est impossible de lui arracher le moindre doute sur le fait que ce n’est pas le ...
Ce contenu est réservé aux abonnés

Chère lectrice, cher lecteur,
la lecture de L’Osservatore Romano dans toutes ses éditions est réservée aux abonnés.,
la lecture de L’Osservatore Romano dans toutes ses éditions est réservée aux abonnés.,